Expulsions d’enfants ou d’adolescents scolarisés depuis des années en France : BASTA ! Et pétition à signer

Pour LEONARDA, la situation est claire et bien résumée dans Libération (et pas dans L’Express).

Près de 5 ans de présence en France et plus de 3 ans de scolarisation.

Jean Marc Eyrault a promis de revenir en arrière s’il y a eu faute. Une sage déclaration.

Le critère de scolarisation de plus de 3 ans est rempli ( circulaire Valls du 28 novembre 2012 sur «l’admission exceptionnelle au séjour des étrangers en situation irrégulière».).

Autre cas : l’expulsion d’un garçon arménien de 19 ans, qui a aussi mobilisé ses camarades qui en ressentent toute l’injustice, en cours d’une année scolaire capitale.

Pour Leonarda et sa famille, Italie ou Kossovo, là n’est pas le problème «On n’avait pas des papiers d’identité. J’ai juste dit que nous étions du Kosovo», a-t-il dit.

A lire dans Libération … et à suivre !

http://www.liberation.fr/societe/2013/10/16/expulsion-de-leonarda-ce-qui-s-est-passe_939954

Pétition à signer :

 » Nous demandons le retour de Leonarda » Nous nous joignons aux enseignants du collège André Malraux et du lycée Toussaint Louverture pour dénoncer les méthodes utilisées pour renvoyer des enfants vers des pays qu’ils ne connaissent pas et dont ils ne parlent pas la langue. Nous sommes choqués de voir comment les efforts d’intégration fournis par ces enfants à l’école sont réduits à néant par des politiques aveugles et inhumaines. Nous demandons le retour immédiat des enfants en France pour leur sécurité. Enfin, des sanctions doivent être prises à l’encontre du préfet pour que de telles expulsions ne se reproduisent plus.  »

https://secure.avaaz.org/fr/petition/Retour_de_Leonarda_arretee_et_expulsee_pendant_une_sortie_scolaire/?dzQFuab

EELV ( Europe Ecologie Les Verts ) contre l’arrêté « anti-bivouac » d’Estrosi Communiqué de presse

Recours d’écologistes contre l’arrêté « anti-bivouac » d’Estrosi
(AFP)
EELV  Alpes-Maritimes a déposé mardi des recours auprès du Défenseur des droits et du Conseil d’Etat après la prise par le député-maire UMP de Nice Christian Estrosi d’un arrêté municipal « anti-bivouac » ciblant notamment les Roms.
« Nous sommes particulièrement écoeurés par cet arrêté », a expliqué à l’AFP la conseillère municipale et métropolitaine Mari-Luz Hernandez-Nicaise, porte-parole de la coordination départementale EELV (Europe Ecologie Les verts) à l’origine de ces recours.
Cette coordination dénonce une « volonté de ségrégation et de priorité de traitement de ressortissants européens selon leur origine ethnique ». Elle demande « à ce que M. Estrosi fasse des excuses publiques » et « qu’un rappel à la loi lui soit fait ».
« Est-il acceptable que le premier magistrat d’une ville n’applique pas les lois de la République et de l’Union européenne? », s’interrogent notamment les écologistes dans leur lettre au Défenseur des droits Dominique Baudis, dont l’AFP a obtenu copie.
Enfin, les écologistes demandent au maire « qu’il mette à disposition sur sa commune suffisamment d’emplacements pour accueillir les campements des populations nomades, évitant ainsi qu’elles ne doivent réaliser des campements illégaux ».
L’arrêté du maire consiste notamment à donner des pouvoirs accrus à la police municipale, qui pourra délivrer des contraventions et faire des contrôles d’identité pour conduire des personnes en situation irrégulière à la police nationale.
Christian Estrosi avait précisé la semaine dernière qu’il ciblait « toutes les populations qui occupent le domaine public » dont les SDF, mais aussi les tziganes des pays de l’Est.
Interrogé lundi par France Info, l’édile a jugé son arrêté « efficace puisqu’en trois jours d’application, nous avons arrêté 50 personnes qui étaient en situation irrégulière ».
SOS Racisme a pour sa part indiqué avoir déposé mardi un « recours préalable » (recours amiable en annulation) auprès du maire.
Christian Estrosi « a deux mois pour répondre » et s’il ne retire pas son arrêté, « nous saisirons le tribunal administratif pour le faire annuler », a affirmé à l’AFP Amadou Diallo, président de la section départementale de l’association.
A Antibes, le sujet des Roms divise aussi depuis des propos du maire UMP Jean Leonetti contre les « intrusions des sans-abri roumains dans les maisons +abandonnées+ » de la commune, tenus la semaine dernière. Mardi soir, une quarantaine d’élus de gauche et de militants associatifs (RESF, LDH ou encore Prales, une association locale de défense des Roms) se sont rassemblés en centre-ville pour protester contre des propos jugés « scandaleux » par les organisateurs.
Selon le site internet de Nice-Matin, l’élu avait dit vouloir « s’inspirer du dispositif des voisins vigilants pour éviter (ces) intrusions ».

Maroc :  » Ali Anouzla : soutien à un journaliste indépendant emprisonné  » Communiqué de presse de Malika BENARAB-ATTOU, eurodéputée ( Verts/ALE )

Malika Benarab-Attou  et Ana Gomes

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Le 17 septembre dernier, Ali Anouzla, Directeur de la version arabophone du site d’information marocain Lakome, a été arrêté  pour avoir publié un lien vers le site du quotidien espagnol El País renvoyant vers une vidéo « d’Al-Qaïda au Maghreb islamique » (AQMI), intitulée « Maroc: royaume de la corruption et du despotisme ». D’emblée, Lakome avait précisé qu’il s’agissait d’une vidéo de « propagande ».

Le 24 septembre, Ali Anouzla est passé devant le juge d’instruction pour « assistance matérielle », « apologie du terrorisme » et « incitation au terrorisme » et est actuellement incarcéré à la prison de Salé-Rabat, connue pour abriter de nombreux détenus impliqués dans des affaires de terrorisme islamique. Il encourt de 6 à 20 années d’emprisonnement.

Ali Anouzla est connu pour être un journaliste indépendant qui s’attaque à des questions sensibles, taboues, ignorées par les médias traditionnels et qui touchent les plus hautes sphères du pouvoir marocain.

La diffusion de vidéos d’AQMI est une pratique existante dans les médias internationaux, elle est destinée à informer et non pas à cautionner. La Fédération internationale des Journalistes considère qu’Ali Anouzla « n’a pas enfreint le code de conduite et la déontologie qui s’applique au métier de journalisme ».

Malika Benarab-Attou, eurodéputée Les Verts/ALE, déclare :

« Tout comme une soixantaine d’organisation dont Reporters sans frontières, Human Rights Watch, Amnesty international, Mediapart qui se mobilisent pour la libération de M. Anouzla, je m’inquiète du risque grave de violation de la liberté de presse. Dans ce contexte, le 30 septembre, j’ai envoyé un courrier à l’Ambassadeur du Maroc auprès de l’UE. J’ai aussi pris contact avec Driss El Yazami, Président du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) au Maroc. Ces deux tentatives n’ont pas permis de débloquer la situation de M. Anouzla qui reste incarcéré depuis 1 mois dans l’incompréhension totale. »

L’eurodéputée ajoute :

« J’ai été interpellée par Aboubakr Jamai, Directeur de la version francophone de Lakome, que j’ai invité au Parlement européen. Comme il l’explique, M Anouzla est le journaliste qui a dénoncé l’affaire du « Daniel Gate », créant une vive polémique. Son arrestation n’est-elle pas une attaque contre l’expression d’un nouveau modèle de journalisme; un journalisme émergent qui dénonce la répression des libertés en règle générale ? Le pouvoir marocain se cache-t-il derrière l’argument de la lutte contre le terrorisme pour justifier toute atteinte aux libertés de la presse et d’expression ? Au PE ce lundi 14 octobre, M. Jamai a pu être entendu, à ma demande, par les participants de la Délégation Maghreb. Le Président de cette Délégation, M. Panzeri s’est engagé à interpeller les autorités marocaines par l’intermédiaire de son ambassadeur. Avec d’autres eurodéputés (Ana Gomes, Marie-Christine Vergiat, Marisa Matias, Sonia Alfano, Veronique De Keyser) nous avons affirmé notre soutien à M. Anouzla. »

Malika Benarab-Attou conclue :

« La libération de M. Anouzla est une nécessité car sont en jeu les libertés d’expression au Maroc et la crédibilité du processus de réforme qui se veut démocratique. Enfin, le cas d’Ali Anouzla rappelle aussi que des jeunes du Mouvement du 20 février sont arrêtés et emprisonnés dans le silence. »

« EELV condamne fermement l’expulsion et les conditions indignes de l’arrestation de la famille Dibrani » Communiqué d’EELV ( Europe Ecologie Les Verts )

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 » EELV tient à exprimer sa colère et son incompréhension suite à l’expulsion ce mardi 15 octobre, de la famille Dibrani, et en particulier face aux conditions d’arrestation d’une des six enfants, Leonarda, élève de 3ème à Pontarlier.

L’expulsion d’enfants scolarisés est devenue courante. A Paris, à Belfort, à Rodez, depuis le début du mois d’octobre, on a expulsé des lycéens, des enfants de 3 et 5 ans, des familles dont les enfants sont scolarisés. Autant de gens transformés en données statistiques. A la fin de l’année, le ministre de l’Intérieur annoncera fièrement avoir expulsé plus d’étrangers en situation irrégulière que l’année précédente, avoir renvoyé en Europe de l’Est plus de Roms que le gouvernement précédent.

EELV dénonce ces agissements et attend de l’enquête administrative décidée aujourd’hui par le gouvernement des explications sur le déroulement et les conditions de l’arrestation de Leonarda. Les responsables ne devront pas manquer d’être sanctionnés.  »

Jean-Philippe MAGNEN, Elise LOWY, Porte-parole

 » Expulsion de Leonarda : les député-e-s écologistes solidaires  » Communiqué de presse

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 » Les conditions dans lesquelles la jeune Leonarda, Kosovare de 15 ans, a fait l’objet d’une reconduite aux frontières heurtent chacune et chacun d’entre nous.

Aucun motif de nature juridique ne pourrait justifier qu’une sortie scolaire soit le théâtre d’un tel acte policier.

Aucune urgence ne pouvait expliquer la précipitation dans la mise en œuvre de l’expulsion du territoire d’une famille dont les efforts d’intégration apparaissent réels, et qui, à quelques jours près, aurait été en mesure de bénéficier des conditions de régularisation de sa situation administrative fixées par une circulaire du gouvernement.

Nous exprimons notre solidarité envers les enseignants et les élèves du collège légitimement choqués par un tel événement.
 
Nous condamnons fermement les explications données par le ministère de l’intérieur sur cette affaire et demandons que les responsabilités au sein de la Préfecture du Doubs soient établies.

Nous demandons instamment que la situation de cette famille soit réétudiée en vue d’un retour rapide en France.  »

 Barbara Pompili et François de Rugy

Co-présidents du Groupe écologiste de l’Assemblée nationale

http://www.ecolodepute-e-s.fr/

Contact presse : Charlotte Pauron 06 82 21 33 33 – cpauron.ecolo@assemblee-nationale.fr

Globalfrackdown – journée mondiale contre la fracturation 2013 contre les gaz de schiste à Montelimar le 19 octobre 2013

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Quand on voit le manque de rentabilité économique aux USA de ces énergies issues des gaz de schiste, c’est stupide de s’y lancer en Europe ! Et je ne parle pas des conséquences sanitaires et environnementales catastrophiques qu’on découvert Etatsuniens et Canadiens. Ils ne s’y attendaient pas puisqu’on leur avait menti !

Mais il y a aussi une dimension démocratique et une dimensoin prospective, par exemple. Veut-on encore d’une société dépendante de sources d’énergie extérieures qui obligent à dominer, y compris par la force, d’autres populations ? Veut-on encore d’une société dépendante d’énergies qui nous ont été imposées ? Veut-on encore d’une société dépendante d’énergies polluantes, toxiques et dangereuses, comme les énergies issues des matières fossiles et fissiles ? Pour moi, comme pour de plus en plus de citoyen-nes dans le monde, c’est NON !

Voici le-a présentation de l’action dans notre région :

 » Le 19 octobre prochain à lieu la « journée mondiale contre la fracturation ». Le« Globalfrackdown » 2013 s’annonce déjà comme un succès vu le nombre d’associations partenaires dans le monde entier.

La manifestation régionale qui nous concerne se déroulera à Montelimar (affiche  ci-dessous) Le CVGG y sera présent avec une forte délégation, prête à crier haut et fort le refus de cette technique dévastatrice.

La décision du Conseil d’Etat  du 11 octobre à l’encontre de la société Schuepbach et pour le maintien  en état de la Loi Jacob est une victoire d’étape, mais la guerre contre les gaz non conventionnels est loin d’etre gagnée.  »

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Tricastin : manifestation devant les grilles d’Areva … avec des chiens sur les manifestants comme demandé par un corniaud ouaf ! ouaf !!

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A lire en entier dans

http://www.ledauphine.com/drome/2013/10/12/ils-denoncent-un-manque-de-transparence

 » …Parmi les élus présents, Michèle RIVASI (députée européenne d’Europe écologie Les Verts-Verts/ALE), Marie BOVE (secrétaire nationale adjointe d’EELV), quatre conseillers municipaux valentinois, trois conseillers régionaux et un député de la région Paca ( François-Michel LAMBERT (Bouches-du-Rhône). Tous ont dénoncé dans leurs allocutions l’opacité dès qu’un incident survient, et réclamé une fois de plus la fermeture du site, et pas seulement : « Ce n’est pas 50 % [de nucléaire] qu’on veut, c’est 0 % », a clamé Michèle Rivasi.

L’occasion aussi pour tous de répondre au directeur de l’usine d’Areva du Tricastin qui, dans un courriel ayant fuité, demandait à son service de sécurité “une photo d’un militant antinucléaire au sol, un chien sur lui”. Les manifestants se sont donc fait un plaisir de se coucher au sol avec des peluches de chiens sur le corps.

… « 

Colloque du 30 Novembre Parc du Pharo à Marseille : « Qunte avenir pèr la lenga d’òc- l’occitan en Provença Aups-Còsta d’Asur ? – Quel avenir pour la langue d’òc- l’occitan en Provence Alpes-Côte d’Azur ? »

2013 Colloqui DesplegantCoordination Anem, òc ! Provença
Nous invitons tous nos adhérents, amis et sympathisants à s’inscrire pour y assister, en envoyant un mail ou en téléphonant à la secrétaire de la coordination Anem, òc e en indiquant :

Nom ……………………. Prénom…………………..
Email……………………. Portable……………………..

comitat.anem-oc@club-internet.fr

06 77 49 37 78 / 04 42 59 43 96

Essayez de vous inscrire le plus vite possible, vous faciliterez l’organisation.

Colòqui dau 30 de Novèmbre
Parc dau Faròt a Marselha

Coordinacien Anem, òc ! Provença

Qunte avenir pèr la lenga d’òc- l’occitan en Provença Aups-Còsta d’Asur ?
L’inscripcien es a gratis. Adonc vos demandam de vos marcar en mandant un mail o en telefonant a la secretairís de la coordinacien Anem, òc e en indiquant :
Noum ……………………. Pichoun noum…………………..
Email………………………Telefounet……………………..

comitat.anem-oc@club-internet.fr

06 77 49 37 78 / 04 42 59 43 96

Assajatz de vos marcar lo mai lèu possible, facilitaretz l’organisacien.

« Le Conseil Constitutionnel rend une sage décision pour l’environnement mais la bataille n’est pas finie » Communiqué de presse Michèle RIVASI Eurodéputée EELV-Verts-ALE

La question est celle de l’application du principe de prévention ; en interdisant la fracturation hydraulique, la loi interdit de fait la seule technique connue à ce jour, mais aux risques avérés, pour extraire des gaz et pétrole de schiste. Aux Etats-Unis et au Canada, cette technique a provoqué de graves pollutions de l’air et de l’eau.

Par sa décision du 11 Octobre 2013, le Conseil Constitutionnel indique que par cette loi « le législateur a poursuivi un but d’intérêt général de protection de l’environnement », et a décidé que les articles 1er[1] et 3[2] de la loi, mis en cause par Schuepbach, sont conformes à la Constitution.

Précision importante, le Conseil Constitutionnel a distingué les puits de forage pour la géothermie et ceux à destination de l’extraction de gaz de schiste : «les procédés de forage suivi de fracturation hydraulique de la roche appliqués pour la recherche et l’exploitation d’hydrocarbures diffèrent de ceux appliqués pour stimuler la circulation de l’eau dans les réservoirs géothermiques tant par le nombre de forages nécessaires que par la nature des roches soumises à la fracturation hydraulique, ainsi que par les caractéristiques et les conditions d’utilisation des produits ajoutés à l’eau sous pression pour la fracturation ».

Ainsi, les sages indiquent que le recours à la fracturation hydraulique pour la géothermie ne présente pas les mêmes risques pour l’environnement et qu’il est donc possible d’y avoir recours.

La loi ainsi interprétée montre une volonté de développer des énergies renouvelables plutôt que de recourir à des énergies fossiles et portant atteinte à la santé et à l’environnement.

Je me réjouis de cette décision, mais la bataille n’est pas terminée ;

En effet, suite à l’abrogation de ses deux permis de Nant et de Villeneuve de Berg, Schuepbach comptait réclamer 1 milliard d’euros d’indemnisation à l’Etat.

Le Conseil constitutionnel précise que « les autorisations de recherche minière accordées dans des périmètres définis et pour une durée limitée par l’autorité administrative ne sauraient être assimilées à des biens objets pour leurs titulaires d’un droit de propriété » ; ainsi, Schuepbach n’ayant jamais été propriétaire de cette autorisation ne peut faire valoir le manque à gagner suite à l’abrogation de ces permis. De plus, pour demander une indemnisation, il faut que le préjudice soit direct, certain et personnel ; ce n’est pas le cas. Et Schuepbach n’avait pas l’intention d’investir autant dans la recherche. C’est une demande sans fondement de la part la société texane.

Enfin, il existe toujours des permis « conventionnels » sur le territoire (Alès, Seine et Marne…), très surveillés par les collectifs citoyens, et sur lesquels il faudra veiller pour que la technique de fracturation hydraulique ne soit pas utilisée.

Cette décision est un signal de plus pour engager la transition énergétique, en disant stop aux énergies fossiles et en investissant plutôt dans l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables ! »


[1] « En application de la Charte de l’environnement de 2004 et du principe d’action préventive et de correction prévu à l’article L. 110-1 du code de l’environnement, l’exploration et l’exploitation des mines d’hydrocarbures liquides ou gazeux par des forages suivis de fracturation hydraulique de la roche sont interdites sur le territoire national. »

[2] . ― « Dans un délai de deux mois à compter de la promulgation de la présente loi, les titulaires de permis exclusifs de recherches de mines d’hydrocarbures liquides ou gazeux remettent à l’autorité administrative qui a délivré les permis un rapport précisant les techniques employées ou envisagées dans le cadre de leurs activités de recherches. L’autorité administrative rend ce rapport public.
II. ― Si les titulaires des permis n’ont pas remis le rapport prescrit au I ou si le rapport mentionne le recours, effectif ou éventuel, à des forages suivis de fracturation hydraulique de la roche, les permis exclusifs de recherches concernés sont abrogés.
III. ― Dans un délai de trois mois à compter de la promulgation de la présente loi, l’autorité administrative publie au Journal officiel la liste des permis exclusifs de recherches abrogés.
IV. ― Le fait de procéder à un forage suivi de fracturation hydraulique de la roche sans l’avoir déclaré à l’autorité administrative dans le rapport prévu au I est puni d’un an d’emprisonnement et de 75 000 € d’amende. » « 

 » UE-Syrie : Au-delà de l’aide humanitaire, les États membres doivent s’engager dans l’accueil des réfugiés syriens » Communiqué de presse d’Hélène FLAUTRE Eurodéputée ( EELV-Verts-ALE )

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COMMUNIQUÉ DE PRESSE – Strasbourg, le 9 octobre 2013

À la suite de son débat d’urgence sur la «crise » des réfugiés syriens, le Parlement européen a aujourd’hui adopté une résolution appelant l’Union européenne et les États membres à prendre toute leur part de responsabilité dans la protection des réfugiés en provenance de Syrie.

Hélène FLAUTRE, députée européenne (Verts-ALE), membre de la commission des Libertés civiles du PE, s’exprime:

« Le Parlement européen a aujourd’hui adopté une résolution qui demande à l’Union et ses États membres d’activer la directive sur la protection temporaire, de secourir les migrants en mer, de développer les programmes de réinstallation, de délivrer des visas humanitaires et d’ouvrir toutes les voies légales d’accès par lesquelles les syriens peuvent obtenir une protection dans l’Union.

L’urgence est là : il est particulièrement irresponsable? suite aux prévisions du Haut-Commissariat aux Réfugiés? de continuer à faire reposer l’accueil des réfugiés syriens sur les pays voisins, qui rencontrent d’ors et déjà des difficultés.

C’est pourquoi je me félicite que la Commission et le Conseil aient accepté à la demande du Parlement la tenue d’une conférence humanitaire d’urgence pour répondre de manière européenne et coordonnée aux besoins de protection. La balle est désormais dans leur camp.»

 

 

 » TUMBALALAÏKA  » Adaptation trilingue en yiddish, occitan et arabe dialectal marocain réalisée par ZiINE, Tarik LAMIRAT, Jean-Michel THIEMONGE, Benoît SEYRAT (LAQM) et production « associative » : CIVILIZATION INTERNATIONAL (Président André MINETTO)

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Production associative : CIVILIZATION INTERNATIONAL * (Président André MINETTO) dont la devise est :

« Unir nos espérances et respecter nos différences pour servir un idéal commun de paix et de respect mutuel »

association de géostratégie solidaire et de dialogue inter-culturel qui milite pour un mieux vivre ensemble, le respect mutuel et un véritable dialogue inter-culturel permanent.

PARENTHESE

( Et pas des belles paroles et des enfumages avec des actes inverses : stigmatisations constantes, démagogie imbécile, manque de respect des droits fondamentaux des citoyen-nes et diffamation grave qui peuvent générer de l’insécurité … comme à Nice actuellement avec des décisions  et manipulations, incohérentes, vexatoires et irresponsables. )

Voici au contraire le bel exemple donné par des jeunes talents nissarts. BRAVO !

Zine : adaptation & interprétation occitane

Ma Saïsara : interprétation yiddish
Tarik Lamirat : adaptation & interprétation, arabe dialectal marocain

musique : chanson du folklore juif ashkénaze
Adaptation :
Tarik Lamirat,
Jean-Michel Thiémonge,
Benoît Seyrat (LAQM)

*

L’Observatoire Océanologique de Villefranche-sur-Mer (OOV) ouvrira ses portes du 11 au 13 octobre 2013 pour célébrer la 22ème édition de la Fête de la Science

Fete sciences Villefranche 2013 » C’est l’occasion de venir découvrir le monde de la recherche scientifique dans des magnifiques bâtiments  classés monuments historiques, et de s’informer sur les  sciences marines dans un contexte d’ateliers éducatifs  ludiques et conviviaux.  Nous  proposerons  une série d’activités pour les grands et les petits. Attention, la journée du vendredi 11 octobre  sera exclusivement réservée  aux scolaires (déjà archi-complète !). 

Le grand public sera le bienvenu pendant le weekend, accès libre, gratuit et sans réservation :

 – Samedi 12 octobre (10h-12h,  14h-17h).

-Dimanche 13 octobre (14h-17h)

Une exposition guidera le public à la découverte du long parcours qui mène « Du Plancton à l’Homme », en passant par les virus, les micro-algues et les gros gélatineux. 12 stands animés par nos scientifiques, doctorants, ingénieurs et techniciens permettront à toute personne intéressée d’assister à des ateliers éducatifs, de   poser des questions et  de s’informer auprès des spécialistes sur les dernières découvertes liées au monde marin.

Le but principal de ces journées est une diffusion du savoir spécifique  « tout public » ciblée « Plancton » qui est l’origine de toute vie terrestre et marine, et un des premiers acteurs de la chaîne alimentaire marine. Peu de gens savent également que l’océan est notre avenir. Ceci dans la mesure où il recèle pratiquement 98% des espèces non encore découvertes sur la planète, et où une partie de l’énergie que nous utiliserons dans les décennies futures proviendra des microalgues marines pour tout ce qui est biocarburant et molécules à haute valeurs ajoutées, ainsi que de nouveaux principes actifs issus des biotechnologies basées sur le nano- et le microplancton.

Tout au long de ce parcours « Du Plancton à l’Homme », de constants rappels sur les  principaux projets de recherche menés à l’(OOV)  seront faits, afin de mettre en évidence leur intérêt pour avancer la science et leur importance sociétale.

En résumé, La Fête de la Science est un moment unique pour s’informer et poser des questions aux spécialistes. Ce sera aussi une
opportunité exceptionnelle de visiter ces lieux historiques qui hébergent l’Observatoire Océanologique de Villefranche-sur-Mer, et qui sont  très rarement ouvertes au public. 
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